Playa Grande, Costa Rica - Cette station balnéaire est connue depuis longtemps pour la Tortue luth National Park, des visites nocturnes Turtle Beach et même un musée des tortues marines. Alors Kaja Michelson, un touriste suédois, est arrivé avec des attentes élevées. "Bien sûr, nous espérons voir des tortues, dit-elle. "Cela fait partie de l'appel."
Mais le développement anarchique, en tandem avec des températures plus élevées et la mer monte que de nombreux scientifiques, grâce à l'réchauffement de la planète, ont considérablement diminué la population de tortues du Pacifique.
Sur une plage où des dizaines de tortues nichaient sur une nuit donnée, les scientifiques ont espionné seulement 32 tortues luth de l'ensemble de l'année dernière. Avec les tortues luth menacées d'extinction, le musée des tortues expansive Playa Grande a été abandonnée il ya trois ans. Et la billetterie plage pour des visites de tortue a été emporté par une marée haute, en Septembre.
"Nous ne favorisent pas cela comme une destination touristique de plus de tortues parce que nous constatons qu'il ya beaucoup trop peu nombreux pour les tortues s'il vous plaît", a déclaré Alvaro Fonseca, un garde du parc.
Même avant que les scientifiques ont constaté des températures à la hausse rampante de la dernière décennie, les tortues de mer étaient menacées par le développement de plage, pêche au filet dérivant et son penchant Costariciens "pour manger des œufs de tortue, considérée comme un mets ici. Mais le changement climatique mai porter le coup fatal à un animal qui a habité dans le Pacifique pour 150 millions d'années.
Les tortues de mer sont sensibles aux nombreux effets du réchauffement. Ils se nourrissent sur les récifs, qui meurent en plus chaud, des mers plus acides. Ils pondent des œufs sur les plages qui sont inondés par la mer monte et plus les ondes de tempêtes violentes.
Plus rarement, de leur sexe n'est pas déterminé par les gènes mais par la température de l'œuf pendant le développement. Petites augmentations de température plage peut se traduire par toutes les populations féminines, à l'évidence problématique pour la survie.
"Les tortues sont des conteurs d'histoires très intéressantes sur les effets du changement climatique sur les habitats côtiers», a déclaré Carlos Drews, le coordonnateur régional des espèces marines pour le groupe de conservation du WWF "Le climat change beaucoup plus vite qu'avant, et ces animaux dépendent tant pour la température."
Si le sable autour des oeufs hits 30 degrés Celsius (86 degrés Fahrenheit), la balance penche de genre aux femmes, M. Drews a dit, et à environ 32 degrés Celsius (90 degrés Fahrenheit), ils sont tous des femelles. Dessus de 34 degrés Celsius (93 degrés Fahrenheit) », on obtient des œufs bouillis, dit-il.
Sur certaines plages de nidification, les scientifiques sont de refroidissement artificiellement des nids d'ombre ou de l'irrigation et en essayant de protéger les zones côtières plus large de la propriété, du développement à veiller à ce que les tortues aient un endroit pour nicher que le niveau des mers monte.
Dans des endroits comme Playa Junquillal, les jeunes locaux sont payés 2 $ la nuit pour ramasser les œufs nouvellement établies et déplacez-les vers un couvoir où ils sont grisés et irriguées de maintenir une température du nid de 29,7 degrés Celsius (85,4 degrés Fahrenheit), qui gèrera les deux sexes .
Quand les tortues éclosent, dans 40 à 60 jours selon l'espèce, ils sont transportés dans des paniers en osier au bord de l'océan et de faire une Beeline pour l'eau. Gabriel Francia, un biologiste qui supervise les jeunes, connus localement comme «la Baulas», ou les garçons luth, compare son travail à fournir un nourrisson en danger par césarienne.
"D'une certaine façon nous avons joué en Dieu - il s'agit d'une expérience de grande envergure, at-il dit. L'espoir à long terme, dit-il, est de construire une population de tortues robuste qui s'adaptent lentement en passant à plus frais, plus de plages du nord ou en ponte à périodes plus fraîches de l'année.
Dans le monde, il existe sept espèces de tortues marines, et toutes sont considérées comme menacées. Populations de tortue dans l'Atlantique ont augmenté au cours des 20 dernières années en raison de mesures comme l'interdiction de piégeage des tortues et de vendre leurs parts.
La tortue luth est considérée comme gravement menacées d'extinction au niveau mondial. Les populations sont particulièrement appauvri dans le Pacifique, où seulement 2000 à 3000 sont estimées à survivre aujourd'hui, contre environ 90.000 il ya deux décennies. Cooler sables ne suffira pas à les sauver, vu l'ampleur des menaces auxquels ils sont confrontés. A Playa Junquillal, des marqueurs placés il ya une décennie pour marquer un point situé à 50 mètres, ou 164 pieds au-dessus de la ligne de marée haute sont désormais fréquemment sous-marine.
Dans des circonstances différentes, les plages pourrait étendre progressivement en arrière, comme le niveau des mers a augmenté. Mais sur une grande partie de la côte Pacifique du Costa Rica, l'arrière de la plage est maintenant remplie d'hôtels, des restaurants et des arbres plantés, en donnant le sable pas d'endroit où aller.
À Playa Grande, la question des tortues a opposé les écologistes contre les promoteurs et le gouvernement national. Afin d'assurer un avenir pour les tortues luth et le parc national, des biologistes voulaient une large bande de terre s'étendant sur environ 130 mètres derrière la ligne de courant de marée haute à l'abri de développement. Les propriétaires de biens en bord de mer, dont de nombreux étrangers avec des maisons de vacances, a exigé une compensation bien membré.
Soutenant que le gouvernement ne peut pas se permettre les paiements, le Président Arias Ascar a plutôt proposée pour protéger les 50 premiers mètres, et en permettant à environ 73 mètres de peu réglementés de développement à usage mixte à l'arrière. Mais les scientifiques de premier plan dans le Costa Rica ont protesté que les nouvelles limites conduirait à "l'extinction certaine.
Les tortues nichent pas si il ya des lumières derrière la plage, a déclaré M. Drews du WWF, et les 50 premiers mètres seraient sous l'eau en 2050.
Source Citation
Rosenthal, Elisabeth. «Un moment troublant pour les tortues de mer dans le Pacifique, les populations dévastées par le réchauffement climatique et le développement côtier. International Herald Tribune le 17 novembre 2009. Military and Intelligence Database. Web. 6 janvier 2010. .
Gale Document Number: CJ212145835
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